L'Amoureuse des Français lâchement attaquée
L'avenir de la France, aussi appelé Ségolène Royal ou "Ségo" pour les enfants, a été la victime d'un lâche attentat perpétré par la branche belge d'Al Qaeda. Le terroriste a été pendu sur le champ, en application de la devise prisée par Mme Royal, "l'ordre juste" (© Benoît XVI&Ségolène Royal).
La plus belle femme de France a, tel le Général au Petit-Clamart, échappé à une mort certaine vendredi dernier, jour du poisson pour tous les Français. Visée par une arme bactériologico-chimique de fabrication artisanale et à propulsion manuelle par un de ces jeunes délinquants multirécidivistes (que si j'étais au pouvoir, moi je vous le dis, je mettrais entre les mains des militaires, ils feraient moins les fiers, les petits salopiaux).
Le phare étincelant nous guidant dans le brouillard de ce monde post-11 septembre se dirigeait vers une foule de braves Françaises et Français soucieux de l'avenir de leur pays et en conséquence dévoués à Ségolène Royal quand un géant noir (©Nicolas Sarkozy), dont les Français ne cessent de déplorer qu'il ait remplacé le géant vert de notre enfance, tenant dans son point fermé l'arme de destruction massive en question a surgi de la foule, tel ces anarchistes qui depuis 1789 ont fait tant de mal à notre pays et à l'héritage laissé par notre bonne Reine, Marie-Antoinette.
"Ségolène Royal est une personne ouverte d'esprit"
La personne la plus aimée de France après Jeanne d'Arc, dont le ramage n'a d'égal que le plumage, a manifesté immédiatement la plus grande mansuétude: "Arrière le gueux! À moi, mes gens! Coupez-lui les roubignolles!".
Suite à cette lâche agression et à la juste punition du terroriste, Ségolène Royal a émis le vœu que ses fidèles journalistes fassent connaître au bon peuple l'insécurité permanente dans laquelle elle vit, tout comme ses (sujets) concitoyens les plus humbles. Le terroriste était connu des services de police. Après la pendaison, les forces de l'ordre juste ont écartelé l'immonde avant de lui donner une décente sépulture, conformément au vœu du Notre Adorée, dans le jardin de la Maison des Libertés de la bonne ville de La Rochelle.
La plus belle femme de France a, tel le Général au Petit-Clamart, échappé à une mort certaine vendredi dernier, jour du poisson pour tous les Français. Visée par une arme bactériologico-chimique de fabrication artisanale et à propulsion manuelle par un de ces jeunes délinquants multirécidivistes (que si j'étais au pouvoir, moi je vous le dis, je mettrais entre les mains des militaires, ils feraient moins les fiers, les petits salopiaux).
Le phare étincelant nous guidant dans le brouillard de ce monde post-11 septembre se dirigeait vers une foule de braves Françaises et Français soucieux de l'avenir de leur pays et en conséquence dévoués à Ségolène Royal quand un géant noir (©Nicolas Sarkozy), dont les Français ne cessent de déplorer qu'il ait remplacé le géant vert de notre enfance, tenant dans son point fermé l'arme de destruction massive en question a surgi de la foule, tel ces anarchistes qui depuis 1789 ont fait tant de mal à notre pays et à l'héritage laissé par notre bonne Reine, Marie-Antoinette.
"Ségolène Royal est une personne ouverte d'esprit"
La personne la plus aimée de France après Jeanne d'Arc, dont le ramage n'a d'égal que le plumage, a manifesté immédiatement la plus grande mansuétude: "Arrière le gueux! À moi, mes gens! Coupez-lui les roubignolles!".
Suite à cette lâche agression et à la juste punition du terroriste, Ségolène Royal a émis le vœu que ses fidèles journalistes fassent connaître au bon peuple l'insécurité permanente dans laquelle elle vit, tout comme ses (sujets) concitoyens les plus humbles. Le terroriste était connu des services de police. Après la pendaison, les forces de l'ordre juste ont écartelé l'immonde avant de lui donner une décente sépulture, conformément au vœu du Notre Adorée, dans le jardin de la Maison des Libertés de la bonne ville de La Rochelle.
Cet article relève d'une hostilité gratuite à Ségolène Royal, bientôt des posts critiques et plus analytiques sur le phénomène médiatique "Ségo" et sur le programme politique de la dame.
posted by Julien Bey at 15:21
2 Comments:
Vieille briscarde du PS, ministre multirécidiviste... Au fond, Ségolène Royal, c'est une éléphante ! Qu'en pensez vous, cher futur Président ?
Cher sympathisant,
Je n'ai pas encore fait état de ma candidature à la prochaine élection présidentielle, aussi je vous demande de garder pour vous les informations qui y sont relatives.
Quant à Mme Royal, c'est certain qu'elle n'est pas une candidate hors-système au Parti Socialiste. Elle a été éduquée dans la Mitterandie, était présente au gouvernement sous la Gauche Plurielle et est maintenant à la tête d'une région. Et puis elle est la compagne du secrétaire du Parti Socialiste...
Cependant elle n'a à ma connaissance jamais été à la tête d'un ministère régalien ni occupé une haute fonction dans l'organigramme du Parti Socialiste, ce qui signifie qu'elle n'est pas un éléphant.
Tout argument autour de cette notion d'éléphant est un peu délicat. Est-ce mal ou bien d'avoir été aux affaires? En ressort-on corrompu et indifférent au peuple ou plus capable de gouverner? La Gauche plurielle et Mitterand doivent-ils être maudits ou célébrés? Cas plus intéressant: Peut-on avoir été aux affaires et garder la fibre sociale (cas de Fabius)?
Ce qui est sûr, c'est que quand Mme Royal fait tout pour paraître différente des "éléphants" et quand au contraire on lui reproche d'être un éléphant, on se place sur le même terrain: Celui de la chasse aux éléphants, activité empreinte de simplifications qui par ailleurs très prisée de la presse de droite (c'est-à-dire une grande partie de la presse).
Ce qu'il convient à mon sens de penser c'est que Mme Royal commet une erreur grossière en jouant à ce jeu, marqué par la rhétorique populiste du Sauveur. D'une part ces relations avec les gens qui ont été au pouvoir sont assez faciles à prouver. D'autre part, c'est la garantie de décevoir les électeurs, car fondamentalement, Mme Royal ne va pas mener une politique de rupture, de gauche en tous cas, et car la rupture de droite (avec la aussi, toutes ces hypocrisies), c'est le créneau de Sarkozy.
Selon votre serviteur, il est urgent que le PS arrive à créer un discours cohérent sur son histoire, qui mette à la foi en valeur la permanence de certaines traditions et l'héritage des dirigents socialistes tout en se donnant les moyens de faire mieux, plus juste, plus social. Dans ce contexte les éléphants dont l'heure sera venue et le temps fini se dirigeront calmement... vers le cimetière des éléphants.
Bien à vous,
Julien Bey
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